Joëlle MEUNIER

Article de presse - L'Avenir du 25/05/2015 ICI

Article de presse - Exposition à Balâtre en février 2014 ICI

« Une exhibition sauvage où les corps se jettent à l'assaut d'un monde blanc et s'y explosent comme pour attirer l'attention là où elle ne devrait probablement pas être...

Le corps est à la disposition du médecin légiste qui devra avec précision donner l'heure de la mort subjective …

Jamais de décor, des corps qui se délitent dam des flaques s'étirent à bords perdus. Des bras tendus vers je ne sais quel espoir...»

Michel Ciparisse « Confluent » octobre 2007.

« Rien dam les dessins de Joëlle Meunier ne nous parle d'aujourd'hui et pourtant ils sont indiscutablement de notre époque ; ils rendent aux choses et aux êtres dessinés leur sacralité.

C'est une reconstruction perpétuelle de l'image du corps comme s'il y avait dans les modèles, des forces de haine qui désintègrent l'image et des forces d'amour qui rassemblent… »

Jean-Luc Martin Directeur de" l'Académie des Beaux-Arts » de Namur..

«... Les dessins de Joëlle Meunier se lisent comme des partitions anthropologiques et des réflexions visuelles sur les douleurs enfouies au plus profond de l'enveloppe charnelle... »

Catherine Charlier Historienne de l'Art.


Ce qu'ils en disent :
	Echos divers
	Article de presse - L'Avenir du 25/05/2015 ICI Article de presse - Exposition à Balâtre en février 2014 ICI « Une exhibition sauvage où les corps se jettent à l'assaut d'un monde blanc et s'y explosent comme pour attirer l'attention là où elle ne devrait probablement pas être... Le corps est à la disposition du médecin légiste qui devra avec précision donner l'heure de la mort subjective … Jamais de décor, des corps qui se délitent dam des flaques s'étirent à bords perdus. Des bras tendus vers je ne sais quel espoir...» Michel Ciparisse « Confluent » octobre 2007. « Rien dam les dessins de Joëlle Meunier ne nous parle d'aujourd'hui et pourtant ils sont indiscutablement de notre époque ; ils rendent aux choses et aux êtres dessinés leur sacralité. C'est une reconstruction perpétuelle de l'image du corps comme s'il y avait dans les modèles, des forces de haine qui désintègrent l'image et des forces d'amour qui rassemblent… » Jean-Luc Martin Directeur de" l'Académie des Beaux-Arts » de Namur.. «... Les dessins de Joëlle Meunier se lisent comme des partitions anthropologiques et des réflexions visuelles sur les douleurs enfouies au plus profond de l'enveloppe charnelle... » Catherine Charlier Historienne de l'Art.